Sud-Kivu : plus de 180 combattants CNRD/FDLR et près de 700 de leurs dépendants se sont rendus à l'armée

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La revue africaine d'environnement et d'agriculture procédera à la publication d un nouveau numéro VOL. 6, N°2,Juin 2023, ce 30 juin 2023

Les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont enregistré la reddition des 183 combattants CNRD/FDLR et 684 de leurs dépendants.

Cette capitulation intervient après la capture samedi à Kalehe par l'armée de plus de 800 rebelles CNRD/FDLR et leurs familles.La reddition a été annoncée ce lundi 9 décembre 2019, par l’un des porte-parole de l’armée au Sud-Kivu.

Le capitaine Dieudonné Kasereka fait savoir que plusieurs éléments du Conseil National pour la Renaissance et la Démocratie CNRD/FDLR ont été obligés de déposer les armes et se sont rendus aux FARDC.

« Les opérations de poursuite contre les CNRD/FDLR continuent aux alentours du Parc National de Kahuzi-Biega.

A ce jour, l'armée a déjà enregistré 183 combattants et 684 dépendants qui se sont rendus. D’autres continuent à venir et le processus d'enregistrement continue dans le camp militaire de Nyamunyunyi dans le Territoire de Kabare.

Parmi les personnes déjà enregistrées, il y a certains cadres et responsables de ce groupe rebelle » a-t-il déclaré.

Le Capitaine Kasereka indique que plusieurs armes et munitions ont déjà été saisies depuis le déclenchement de cette opération le mardi 26 novembre 2019.

L'officier supérieur souligne que les FARDC sont déterminées à mettre fin aux mouvements rebelles en RDC.

« L’armée reste déterminée à en finir avec les groupes armés en RDC. Ainsi, j’invite la population du Territoire de Kalehe à continuer de collaborer avec l’armée régulière », a-t-il lancé.

À signaler que plus de 130 groupes armés nationaux et étrangers écument la partie Est en RDC depuis plusieurs décennies. Ils sont à la base des violations graves des droits humains, notamment le premier d'entre eux : le droit à la vie.

Le président de la République a promis de mettre fin à l'insécurité à l'Est en RDC.

Félix Tshisekedi a lancé une vaste offensive pour éradiquer notamment les Adf, principale menace sécuritaire en RDC.

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