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La revue africaine d'environnement  et d'agriculture procédera à la publication d un nouveau numéro  VOL. 6, N°2,Juin 2023, ce 30 juin 2023

Publié le 11-12-2020 à 13:25:47 Actu Politique

Tribune : Le pouvoir, c'est le devoir de responsabilité.(Patrick Mulumba)

Avant-propos

Ce qui se passe, aujourd'hui ; je voulais dire, l'agir du pouvoir tel qu'il se laisse observer, aujourd'hui, je l'avais anticipé, déjà, par mes réflexions d'autrefois. Je ne me permettrais pas de  s'auto-qualifier de prophète, encore moins d'oracle. Simplement, mon esprit, au travers de la pensée, avait vu tout ceci entrain de se réaliser dans ce qu'il est, aujourd'hui, le aujourd'hui ; et, autrefois, le future.

Je vous invite, alors, à lire ce petit texte de réflexion revu et augmenté. Et vous serez, donc, très édifié, par rapport aux événements politiques de ces derniers temps.

1. Le manichéisme comme condition de la morale politique.

La morale politique est manichéiste. Elle use du mal autant qu'elle use du bien, lorsqu'il faut être à la hauteur de ses responsabilités d'État : répondre au devoir. Le salut du peuple est le devoir d'ordre philosophique dans la hiérarchie des priorités existentielles d'une nation.

Le salut du peuple est non seulement la loi suprême ; mais, aussi, la morale suprême. Faire du mal au mal, pour servir le bien - principe de liberté du pouvoir - est moralement bon, correct et acceptable.

Débaucher par nécessité, aujourd'hui, au FCC s'avère un répondant parfait de ce principe pratique de la morale politique. Et, donc, seul le bonheur du peuple, et rien d'autre, devra guidé l'agir du président de la république.

Le bonheur du peuple, avant tout. Tel est le résumé de la responsabilité du pouvoir. Le mal n'est pas toujours mal, comme nous en avions très souvent habitude de penser, surtout lorsqu'il a pour seul maître le bien téléologique !

2. Morale, politique et salut du peuple : la relation de subordination.

Quand il faut servir le peuple, la praxis politique se doit de droit engager la morale authentique. C'est légitime. Dans ce cas de figure, et pour dire vrai, la subordination n'est pas du tout, ici, la relation qui s'établit entre la morale et la politique ; mais, plutôt, entre la morale et ce qui la relie à sa nature même, c'est-à-dire la fin téléologique, à savoir : le bien, lequel se traduit, ici, comme le salut du peuple (sécurité, paix et bien-être) que, d'ailleurs, poursuit la praxis politique.

Comme pour dire, la morale authentique ne se contredit pas avec la praxis politique, étant donné qu'elle est le moyen efficace avéré que le pouvoir politique utilise pour répondre à son devoir de responsabilité. La morale est collaboratrice par excellence et partenaire privilégiée de la politique, lorsque la finalité de l'action est bien le salut du peuple.

Excellence monsieur le président de la république, vas-y ! Et rassurez-vous de l'accompagnement de la morale dans votre action pour le salut du peuple.

Mulumba kanyinda Patrick, philosophe et homme politique congolais.

Lu par: 1723 Personnes



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